Transport Doucet et fils a fait l’acquisition de Transport TGL de Saint-Félicien. Une transaction qui lui permettra d’accroitre son efficacité et d’être plus attractive pour la main-d’œuvre.
« Notre objectif avec cette acquisition, ce n’est pas d’être le plus gros, mais de continuer à être le meilleur et le plus efficace possible. L’ajout de TGL vient consolider nos opérations et nous offrir un meilleur contrôle sur ce que l’on fait et ainsi mieux servir nos clients », explique Dave Doucet, directeur général et coactionnaire en compagnie de son père Ghislain et de son frère Janick.
Transport TGL était actif dans le même type de transport que le Groupe Doucet, soit principalement les copeaux, les écorces, la sciure et la planure. La transaction, dont la valeur n’a pas été dévoilée, ne comprend par les autres filiales de TGL.
« On obtient une entreprise très similaire à la nôtre et qui a également une même qualité d’employés. Avec TGL, on n’est pas dépaysé, on est dans un domaine que l’on connaît bien et dans lequel on excelle. On obtient aussi une business qui va bien et ça démontre que l’on veut continuer à avancer et à se développer. C’est un signal positif que l’on envoie. »
À court terme, l’intégration de TGL aux activités de Transport Doucet et fils permettra de dégager des synergies qui permettront de diminuer les coûts d’exploitation en raison d’un meilleur contrôle sur l’ensemble des opérations. Tous les employés de TGL, environ une cinquantaine en tout, sont conservés.
Attractivité
Avec cette acquisition, le Groupe Doucet emploie désormais plus de 200 travailleurs et opère au-delà d’une centaine de camions. Avec le garage de TGL situé à Saint-Félicien, l’entreprise possède désormais des succursales à Dolbeau-Mistassini, Alma, Saint-Félicien, La Doré et Maniwaki.
Cela place le Groupe Doucet dans une position pour être plus attractif et offrir davantage de variété d’emplois à ses travailleurs.
« Si un gars est tanné d’être sur les run locales autour du Lac-Saint-Jean et qu’il veut essayer les longues distances jusqu’en Ontario, on est capable de le lui offrir sans qu’il ait à aller voir ailleurs et ainsi perdre son ancienneté et ses conditions. On a l’occasion d’élargir la diversité d’emplois pour nos travailleurs. »
