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La sensibilisation se poursuit à Dolbeau-Mistassini

Le 09 avril 2015 — Modifié à 00 h 00 min le 09 avril 2015
Par Karine Desrosiers

EAU POTABLE . Pour une deuxième année, c’est à la Société de Gestion Environnementale (SGE) que la ville de Dolbeau-Mistassini a confié le mandat d’informer et de sensibiliser les citoyens à la réduction de la consommation d’eau potable sur son territoire. Pour la présente année, la SGE priorisera la tournée des institutions, des commerces et des industries (ICI) pour faire connaître les nouvelles directives concernant le règlement sur la consommation d’eau potable.

« Nous voulons rencontrer toutes les directions des ICI, entre autres pour les informer sur les nouvelles directives concernant les systèmes de climatisation et de réfrigération puisqu’il est maintenant interdit d’avoir des systèmes à l’eau potable », précise Andréanne Fortin, chargée de la campagne d’information à la SGE.

L’an dernier, quelque 2 500 propriétaires de résidences ont été rencontrés par les agents d’information pour les sensibiliser sur les mesures à prendre pour réduire leur consommation d’eau potable.

« Ces mesures s’inscrivent dans le plan d’action préconisé par le MAMROT et vise à éviter l’installation de compteurs d’eau pour 2017 sur le territoire de la ville », commente Andréanne Fortin, précisant que la campagne de sensibilisation et d’information de l’été 2015 se fera aussi par l’embauche de deux agents qui verront à rencontrer les résidents et propriétaires d’ICI.

Mesures

Parmi les mesures que la ville de Dolbeau-Mistassini met de l’avant afin de réduire la consommation d’eau potable sur son territoire, il y a la vente d’une trousse d’équipement de plomberie pour réduire la consommation. La SGE profitera des événements estivaux pour monter un kiosque de vente et d’information pour la promotion de ces équipements.

Des patrouilles seront aussi effectuées dans les rues de la ville pour la distribution de documents d’information, dont ceux se rapportant à l’arrosage des pelouses et des aménagements paysagers. Enfin, des ateliers sont aussi montés et seront présentés auprès des jeunes qui fréquenteront les camps de jour.

« Nous ne voulons pas être une police de l’eau, mais bel et bien informer la population sur la règlementation de l’eau potable au sein de la municipalité », a conclu Mme Fortin. —J.S.

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