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Chemin Donohue à Saint-Thomas-Didyme : On procèdera aux travaux de réfection

Le 16 juillet 2014 — Modifié à 00 h 00 min le 16 juillet 2014
Par Karine Desrosiers

ENTRETIEN NÉGLIGÉ. Une rencontre entre les représentants de Produits Forestiers Résolu et le conseil municipal de Saint-Thomas-Didyme sur la détérioration du Chemin Donohue qui passe dans le centre du village, occasionnant des problèmes majeurs de circulation pour les résidents, a permis d’élaborer un plan de restauration de la chaussée.

En fait, la municipalité entreprend les démarches afin de procéder à des travaux d’urgence pour remettre en état la chaussée où il y a du pavage bitumineux, travaux qui seront remboursés par PFR. Cette première étape du reconditionnement du chemin Donohue devrait amener la direction de la compagnie à analyser des solutions pour faire abattre la poussière sur le tronçon où on a enlevé l’asphalte au cours des dernières années. Enfin, pour le long terme, les élus municipaux demandent à PFR de considérer la possibilité de reconstruire le chemin dans un secteur moins achalandé et qui permettrait à la compagne de faire circuler les camions lourdement chargés en retrait de la circulation dans les rues de la municipalité.

La rencontre fait suite à plusieurs plaintes formulées par les résidents situés en bordure du chemin de même qu’à une pétition signée par les contribuables et citoyens de Saint-Thomas, sur la dégradation du chemin devenu non carrossable. Le directeur général de Saint-Thomas-Didyme, M. Jean-Marc Paradis, rappelle que le chemin Donohue est une route privée, qui passe au milieu du village. « Au cours des dernières semaines, la compagnie a effectué plusieurs transports de bois allant jusqu’à 25 camions par jour. Cette surutilisation a détérioré grandement la route dont l’entretien avait été négligé au cours des dernières années, puisque la compagnie l’utilisait peu », explique M. Paradis.

Des citoyens dont la résidence est située en bordure du chemin ont décrié la détérioration de la route, puisque la conduite automobile était devenue précaire. Des ornières, des trous dans la chaussée et le craquelage de l’asphalte et la poussière étaient devenus le lot quotidien des citoyens qui empruntaient la route pour se rendre à leur résidence. —J.S.

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