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Les mille et une histoires connaissent une saison désastreuse

Le 20 août 2013 — Modifié à 00 h 00 min le 20 août 2013
Par Karine Desrosiers

Quelque 2 500 personnes auront assisté aux douze représentations du spectacle Le Secret des Pères, présenté sur le site de la Pointe-des-Pères à Dolbeau-Mistassini, soit 50% de l’objectif d’assistance visé par les administrateurs de la Route des milles et une histoire.

«Nous avions prévu accueillir 5 000 personnes pour la première édition du spectacle », rappelle le président de la Route des mille et une histoires, M. Claude Ouellet, qui précise que la saison qui s’est terminée le 3 août dernier apporte un manque à gagner important dans les coffres de l’organisme sans buts lucratifs.

Se refusant de parler d’une saison catastrophique, le président Claude Ouellet mentionne que le conseil d’administration entend se relever les manches et trouver les sommes requises pour boucler une saison qui n’a pas répondu aux attentes.

Claude Ouellet mentionne que la Route des mille et une histoires, c’est d’abord et avant tout un groupe d’administrateurs bénévoles qui entend doter le milieu de Dolbeau-Mistassini d’une attraction touristique estivale. Devant les résultats obtenus cette saison, on a donc mis en place la recherche de commanditaires et l’organisation d’activités de financement pour boucler le budget. En ce sens, une lettre a été envoyée aux fournisseurs leur indiquant qu’un retard sera apporté dans le paiement final de leur créance, mais que tout sera mis en oeuvre pour que les sommes dues soient payées.

Budget

On demeure dans l’expectative quant aux raisons qui ont conduit à la baisse d’achalandage ayant amené un manque à gagner. Le président de la Route des mille et une histoires demeure catégorique : « Les résultats de cette année n’entachent en rien la volonté des administrateurs de poursuivre le projet de la Route », commente Claude Ouellet.

Rappelons que la présentation de la première édition du spectacle Le Secret des Pères a demandé un budget e plus de 400 000 $. —J.S.

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