Dimanche, 08 décembre 2024

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Secteur Dolbeau

Nouvelle pouponnière et 5 places de plus au CPE Croque-Lune

Vincent Pagé
Le 18 novembre 2024 — Modifié à 19 h 00 min le 18 novembre 2024
Par Vincent Pagé - Journaliste

Le Centre de la petite enfance Croque-Lune de Dolbeau-Mistassini a inauguré la semaine dernière sa toute nouvelle pouponnière qui accueille en tout 10 poupons âgés entre 0 et 18 mois. L’établissement a été en mesure d’obtenir 5 places supplémentaires dans sa nouvelle pouponnière grâce à une aide gouvernementale.

Pour la directrice générale Caroline Fortin, l’ajout de ces 5 places fait une grosse différence puisque selon elle, la demande de places pour les nouveau-nés se fait sentir dans le milieu.

« L’année dernière, le gouvernement a ouvert des appels de projets pour l’ajout de places. Nous avons déposé une demande afin d’obtenir 5 places supplémentaires dans notre nouvelle pouponnière. Nous étions très contents quand nous avons reçu la nouvelle que notre projet était accepté. Avec nos listes d’attente, on voit qu’il y a une forte demande pour les places pour poupons présentement », indique Caroline Fortin, directrice générale du CPE.

En avril dernier, le CPE Croque-Lune déménageait temporairement dans un établissement voisin à la suite d’un sinistre important. Cet incident a ralenti le projet de pouponnière dont les travaux ont finalement débuté en septembre dernier.

« Lorsque nous avons eu l’autorisation pour les places, le gouvernement nous donnait jusqu’en août pour ouvrir. Un des facteurs qui a aidé notre demande est que nous avions seulement besoin de faire un réaménagement. Nous avons dû mettre notre projet sur pause le temps que tout revienne dans l’ordre et qu’on puisse revenir ici », ajoute-t-elle.

Nouvelle espace

Le CPE Croque-Lune accueille en tout 60 jeunes enfants. L’établissement du secteur Dolbeau a procédé à certains dans les derniers mois en lien avec l’ajout de ces 5 places.

« Nous avons engagé des éducatrices de plus pour répondre à cet ajout. Nous avons également réaménagé l’espace de notre pouponnière pour nous assurer d’avoir une salle qui était adéquate pour nos poupons. C’est un projet sur lequel nous avons travaillé au cours des derniers mois avec des architectes », conclut Caroline Fortin.

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