Sports

Temps de lecture : 1 min 17 s

Plaisir à coup sûr tous les mercredis soirs!

Le 21 juin 2019 — Modifié à 11 h 39 min le 21 juin 2019
Par Guillaume Pétrin

Il y a de ces sports qui sont rassembleurs. C’est le cas de la balle lente féminine, qui connaît passablement de succès à Dolbeau-Mistassini.

Comme plusieurs autres femmes dans la ligue, Vanessa Coutu a commencé à jouer à la balle lente avec sa mère. Encore aujourd'hui, la jeune femme, mère à son tour, joue encore, à tous les mercredis soirs dans la ligue de balle lente féminine de Dolbeau-Mistassini.

« J'ai joué une première fois à 16 ans et j'ai recommencé à 26 ans. J'ai joué avec ma mère au début, il y en a beaucoup qui font ça. J'ai arrêté quelques années et à mon retour aux études, je me suis inscrite à nouveau avec une amie», raconte-t-elle.

Les équipes jouent plus d'une douzaine de parties chaque été et la saison se terminera en août.

« La saison est déjà commencée. On a retardé à cause du froid. J’adore ça, j'étais fébrile à l'idée de recommencer, et en plus il y a des tournois un peu partout dans la région. »

Les filles jouent pour le plaisir avant tout. (Photo courtoisie – Pixabay.com )

Inscriptions

Celle qui s'implique dans le comité de la ligue confirme que la balle lente est un sport fort populaire auprès de la clientèle féminine de la région.

« Il y a six équipes, 13 filles par équipe, donc 78 joueuses régulières et il y a quelques remplaçantes pour un total de 85 joueuses. »

Pour s'adonner à leur sport préféré, certaines de ces femmes sont prêtes à faire plusieurs kilomètres pour rejoindre leurs coéquipières.

Ambiance

La ligue est une ligue participative avant tout. Les plus jeunes ont 16 ans, les plus âgées ont plus de 40 ans. Toutes jouent pour le plaisir.

« On veut jouer à un sport. Ça rit, c’est vraiment le fun. L'arbitre nous connaît. C'est moins sérieux que les gars. C'est participatif et on est là pour apprendre et s'amuser. Ça se reflète dans l’ambiance. »

Abonnez-vous à nos infolettres

CONSULTEZ NOS ARCHIVES