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La Bootcamp Race 2019 promet encore plus!

Le 19 mars 2019 — Modifié à 15 h 42 min le 19 mars 2019
Par denis hudon

La popularité du Bootcamp Race ne semble pas vouloir s’estomper et la 3e édition qui se tiendra le 1er juin, toujours sur le site de Do-Mi-Ski, devrait encore attirer autour de 1 200 adeptes.

D’ailleurs, les inscriptions sont déjà en cours depuis novembre dernier et se poursuivront jusqu’au jour même de la tenue de l’événement.

Toujours organisé par le promoteur JustRun International en collaboration avec le Club d’haltérophilie de Dolbeau-Mistassini, l’édition 2019 proposera encore une trentaine de structures à obstacles, dont près de la moitié seront modifiées ou entièrement renouvelées. Autre particularité, la pluparts des structures sont conçues et fabriquées localement.

« Nous aurons encore une fois un parcours exceptionnel. La beauté de l’événement, c’est que ça s’adresse à tout le monde et sans chronométrage. Le matin, on s’adresse à monsieur et à madame Tout-le-Monde, à partir de 12 ans, et en après-midi, c’est vraiment familial », explique Richard Belleau, président du club d’haltérophilie et responsable de l’événement.

Autant de spectateurs

Ce dernier mentionne que 30 % des participants sont de Dolbeau-Mistassini, 70 % de tout le Lac-Saint-Jean et si on ajoute le Saguenay, c’est plus de 85 % qui proviennent de la région. C’est donc environ 15 % de participants qui proviennent d’ailleurs au Québec.

« C’est vraiment un événement majeur. On accueille environ autant de spectateurs que de participants. Ça fait beaucoup de monde et c’est pourquoi on a l’appui de la Ville pour le stationnement au village western avec service de navette. Nous avons les meilleurs bénévoles au monde, autour de 120, et il n’y a pas que moi qui le dit », lance Richard Belleau.

La Bootcamp Race présentée en nos murs est devenue la principale source de financement du club d’haltérophilie. Les profits sont versés en majorité au club (7 500 $) et le reste (2 500 $) à Do-Mi-Ski.

« Les gens qui aiment les défis et aussi la boue seront bien servis. L’an dernier, il a fallu littéralement sortir des participants de la boue et on a retrouvé plusieurs espadrilles », conclut en riant Richard Belleau.

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