Faits divers

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On recherche toujours le disparu sur la Mistassibi

Le 06 mai 2013 — Modifié à 00 h 00 min le 06 mai 2013
Par Karine Desrosiers

Dolbeau-Mistassini-Les recherches en vue de retrouver M. Roger Martel, villégiateur ayant un chalet au km 108 sur la route forestière Bowater au nord de Dolbeau-Mistassini, se poursuivaient toujours dans la journée de lundi. Menées par la Sûreté du Québec, les recherches se sont intensifiées avec l’arrivée de quatre plongeurs de la Sûreté du Québec qui ont procédé à des fouilles dans la rivière Mistassibi à la hauteur du km 100 sur le chemin de Bowater.

En fait les plongeurs ont été mis à contribution après que l’on ait retrouvé celle qui l’accompagnait dans une excursion sur la rivière. Cette dernière a été retrouvée sans vie dimanche après-midi alors que les sauveteurs l’ont recueillie à l’intérieur des rives de la rivière où elle gisait victime selon toute vraisemblance d’hypothermie.

Les hypothèses entourant cette disparition et la mort d’une personne sont encore du domaine des probabilités alors que les enquêteurs sont à amasser les données sur ce qui aurait pu survenir. Rappelons que vendredi soir dernier, le fils de M. Martel rejoignait la Sûreté du Québec après avoir constaté que son père ne se trouvait pas au chalet, où il demeurait pratiquement en permanence. Samedi à la levée du jour les agents de la SQ ont entrepris des recherches qui devaient conduire à la découverte du VTT du disparu et l’absence de canot sur son support.

On a fait venir l’hélicoptère de la SQ afin d’étendre le périmètre des recherches étant donné que les disparus pouvaient être à bord du canot. Samedi, en fin d’après-midi, on a retrouvé l’embarcation et une paire de botte appartenant à M. Martel. Cette découverte a permis d’intensifier les recherches dans le secteur du km 100 et ainsi retrouvé l’une des victimes, une femme de 54 ans, originaire de Mashteuiatsh

Recherches

À la Sûreté du Québec au poste de Maria-Chapdelaine on a indiqué lundi après-midi, soit au moment de mettre sous presse que les recherches se poursuivaient dans l’eau, dans les airs et sur terre. Après chaque journée ont recueille les informations que l’on a pu obtenir afin de déterminer les actions à entreprendre le lendemain. On a indiqué que le travail des plongeurs se poursuivrait certainement jusqu’à mardi si d’ici là on n’avait pas retrouvé M. Martel. —J.S.

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