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Une nouvelle planification stratégique pour la MRC

Serge Tremblay
Le 30 avril 2019 — Modifié à 15 h 06 min le 30 avril 2019
Par Serge Tremblay - Rédacteur en chef

La MRC de Maria-Chapdelaine a fait appel au Centre québécois de développement durable (CQDD) afin de revoir ses orientations stratégiques et de développement territorial.

Une somme de 24 430 $ sera investie pour mener un exercice de consultation et de réflexion qui conduira à l’adoption d’une nouvelle planification stratégique.

« C’est un exercice que l’on veut réaliser et on entend mettre les forces vives du milieu à contribution. Il y aura des consultations élargies en mai et on devrait avoir un plan stratégique vers le début de l’automne », a indiqué le préfet de la MRC de Maria-Chapdelaine, Luc Simard.

Avec le processus de fusion qui a mené à l’intégration de l’ancien CLD au sein de la MRC, le préfet estime qu’il est nécessaire de rebrasser les cartes et de se doter d’une nouvelle planification stratégique pour guider l’organisation.

Consultations

Luc Simard assure que le plan sera élaboré en concertation avec diverses organisations et intervenants des milieux économique, touristique, agricole, social et communautaire.

« Ce ne sera pas tant des consultations publiques, mais plus des consultations ciblées auprès de certains groupes. On veut aller voir auprès de divers partenaires et aussi les conseils municipaux afin de voir ce qu’ils attendent de la MRC et voir comment on peut mieux travailler ensemble. »

Les consultations devraient normalement se tenir au cours du mois de mai, mais le processus visant à mettre au point les nouvelles orientations stratégiques de la MRC se poursuivra jusqu’à l’automne.

Milieux humides

Dans un tout autre dossier, la MRC a pris la décision de rendre accessible gratuitement à des partenaires et consultants les informations relatives à la cartographie des milieux humides réalisée par Canards illimités.

« Ce sont des éléments qui sont utilisés en géomatique, mais on vise la transparence et non pas de conserver les informations pour nous. On devrait normalement les tarifer, mais on préfère les offrir gratuitement, c’est un outil pour notre développement. »

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