Actualités

Temps de lecture : 1 min 54 s

Une année 2013 éprouvante pour Denis Trottier

Le 24 décembre 2013 — Modifié à 00 h 00 min le 24 décembre 2013
Par Karine Desrosiers

Par Jules Simard // Pour le député de Roberval à l’Assemblée nationale, Denis Trottier, l’année 2013 s’est amorcée sur le signe de la maladie alors qu’il s’est retrouvé avec des crises de zona pendant les deux premiers mois de l’année. Par la suite, il a été victime d’un accident en mai qui lui aura écrasé une main.

« Mes problèmes de santé ont affecté mes tâches sans pour autant m’empêcher de les accomplir pendant toute l’année », confie Denis Trottier, qui voit dans ces évènements une façon d’éprouver son caractère et de développer sa patience.

Denis Trottier dit avoir connu ce que c’était de vivre avec la douleur physique. « Au cours des quatre mois qui ont suivi mon accident, j’ai eu des douleurs continuelles à la main qui ont affecté ma capacité de concentration et de travail, puisque je devais prendre une forte médication pour en atténuer les effets », déclare Denis Trottier.

Obligé de se rendre à l’hôpital toutes les semaines pour subir des opérations ou encore suivre des traitements de physiothérapie, Denis Trottier, ne tarit pas d’éloges à l’endroit des services qu’il a reçus. « Nous avons un service de santé hors pair, et les professionnels ont fait en sorte que j’ai pu sauver les doigts qui ont été écrasés lors de mon accident », précise le député, qui avoue par ailleurs avoir rencontré lors de ces passages à l’hôpital des gens aux prises avec des maladies beaucoup plus graves que lui.

« Le fait de les côtoyer m’a beaucoup aidé à conserver le moral et à vouloir poursuivre mon travail », précise Denis Trottier.

Hyperactif

« J’ai pour mon dire que l’activité est le meilleur remède pour soigner les maux », affirme Denis Trottier, qui se qualifie comme un hyperactif.

C’est pour cette raison qu’il n’a pas cessé de vaguer à ses activités tout au cours de l’été. Handicapé par le fait qu’il ne pouvait conduire son automobile, ce qui réduisait son autonomie, cela ne là pas empêché d’être présent pour les travaux à l’Assemblée nationale, dans ses activités de représentation dans le comté, et effectuer les rencontres pour le sommet sur la forêt.

Ce qui lui a manqué le plus pendant plus de quatre mois, c’est de ne pas pouvoir faire de la natation. « Habitué de nager tous les jours, cette activité m’a grandement manqué », conclut Denis Trottier, qui a profité des derniers mois de 2013 pour s’y remettre.

Confiant que son travail comme député peut s’effectuer même si les doigts d’une main n’ont pas la flexibilité qu’ils avaient avant l’accident, Denis Trottier entreprendra l’année 2014 en continuant de s’impliquer dans le quotidien de son travail, dans l’espoir que les problèmes de santé sont maintenant derrière lui.

Abonnez-vous à nos infolettres

CONSULTEZ NOS ARCHIVES