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Un premier comité consultatif jeunesse à Dolbeau-Mistassini

Serge Tremblay
Le 24 juillet 2019 — Modifié à 15 h 06 min le 24 juillet 2019
Par Serge Tremblay - Rédacteur en chef

Dolbeau-Mistassini a désormais son comité consultatif jeunesse. Les sept membres qui le composent, âgés entre 18 et 29 ans, auront l’occasion d’insuffler une touche de jeunesse dans les orientations du conseil municipal.

Mégan Thibault, Noémie Perron, Marie-France Larouche, Chelsie Savard, Michel-André Fradet, Cindy Migneault et Johnny Guillemette forment la toute première mouture de ce comité consultatif.

Avec l'accompagnement d’une chargée de projet en la personne d’Audrey-Pier Lavoie, leur premier mandat sera de jeter les bases du fonctionnement et de la structure de cette nouvelle organisation.

Sans avoir fixé des règles précises pour laisser aux jeunes la marge de manœuvre nécessaire pour prendre leurs décisions, les élus ont néanmoins quelques demandes.

Le conseil municipal s’attend à recevoir une liste des investissements prioritaires qui devraient faire l’objet d’une analyse approfondie avant le 30 septembre prochain, afin que ces suggestions puissent faire partie du processus budgétaire 2020.

D’ici au 31 octobre 2019, le comité consultatif jeunesse devra aussi mettre sur pied une liste d’actions sans coût financier qui peuvent néanmoins avoir un impact pour la vie des citoyens.

« Les jeunes sont dynamiques et ont des idées nouvelles, il nous faut ce genre de <@Ri>feedback<@$p>. On ne veut pas un comité jeunesse juste pour faire beau, on veut aller plus loin, entendre leurs propositions et faire que les décisions que l’on prend s’imprègnent de leurs commentaires », a souligné le maire, Pascal Cloutier.

Pourquoi 18-29 ans?

La Ville a décidé de cibler la tranche d’âge des 18 à 29 ans puisqu’il s’agit d’un segment de population qui est moins bien servi. Le jeunes du secondaire ont généralement accès à plusieurs activités et services à travers la vie scolaire, mais les jeunes adultes qui n’ont pas encore fondé une famille se retrouvent avec moins de possibilités.

« Il y a comme un trou entre les deux, avec les jeunes qui sortent du secondaire où ils avaient plusieurs possibilités. On voyait qu’il y avait peut-être un manque. »

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