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Téléphonie cellulaire : branché partout…ou presque

Serge Tremblay
Le 24 septembre 2020 — Modifié à 14 h 39 min le 24 septembre 2020
Par Serge Tremblay - Rédacteur en chef

Le déploiement du service cellulaire et d’internet haute vitesse dans plusieurs secteurs du Lac-Saint-Jean est finalement complété.

L’Agence interrégionale de développement des technologies de l’information et des communications (AIDE-TIC) a érigé la dernière des 16 tours du projet. Il s’agit de celle du mont Apica, dans le Petit parc des Laurentides (route 169).

« Il n’y a que 6 km qui ne sera pas desservi pour se rendre à la route 175. Nous, on a livré la tour, il reste à Bell à installer les équipements et réaliser les tests. Ça devrait être en fonction le 15 octobre », explique le directeur d’AIDE-TIC, André Nepton.

C’est donc un la fin d’un long déploiement qui a permis aux municipalités de Lac-Bouchette, de Saint-François-de-Sales, de Saint-André, de Saint-Thomas-Didyme, de Notre-Dame-de-Lorette, de Saint-Eugène-d’Argentenay, de Labrecque et de Lamarche d’être desservies convenablement par la téléphonie cellulaire et internet haute vitesse.

« On s’est très bien tiré d’affaire si on se compare à d’autres régions du Québec. Il ne reste plus beaucoup de zones non couvertes. »

Quelques secteurs problématiques

Bien que le projet, qui a nécessité un investissement de 7,5 M$, ait réglé une bonne partie du problème, André Nepton souligne qu’il existe encore des ilots mal desservis comme un secteur entre Sainte-Jeanne-d’Arc et Vauvert, à la Pointe de Saint-Méthode et à Saint-Prime.

De nouveaux programmes disponibles pourraient venir régler la situation.

Il est maintenant possible d’avoir un signal cellulaire partout sur la route 167 du Petit parc des Laurentides, ce qui accroit la sécurité pour contacter les services d’urgence.

Route 155

Pour la route la 155, le projet piloté par AIDE-TIC a permis d’offrir un signal de Saint-François-de-Sales jusqu’au lac Écarté.

« Il y a une portion de 45 km qui n’est toujours pas accessible jusqu’à La Tuque. Il y a une problématique liée à l’électricité. Je sais qu’il y a de la planification qui se fait, mais ce n’est pas nous qui avons le mandat, mais la firme Ambra. »

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