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Rémi Rousseau préconise une gestion participative

Le 25 octobre 2013 — Modifié à 00 h 00 min le 25 octobre 2013
Par Karine Desrosiers

Candidat comme échevin au siège numéro 4, l’homme d’affaire Rémi Rousseau, préconise la mise en place d’une gestion participative au sein du conseil municipal et ceci dans un souci de transparence, d’intégrité et d’écoute.

« Nous possédons tout ce qu’il faut pour que notre ville puisse s’épanouir pleinement. Ce que nous devons faire c’est se donner un plan de développement stratégique à long terme, qui nous permettra de rendre notre ville plus attrayante. Nous devons connaître ce qui peut nous distinguer, analyser nos forces et nos faiblesses. Ce plan n’aura de valeur que si un grand nombre de Dolmissois et de Dolmissoises, ainsi que les représentants du commerce et de l’industrie participent à son élaboration », fait savoir Rémi Rousseau, insistant sur le fait que la démarche se doit d’être transparente.

Pour le candidat au siège numéro 4, ses 35 ans d’expérience dans le secteur privé, son implication au niveau social et communautaire, sa participation à des conseils d’administration locaux, régionaux et provinciaux lui ont permis de développer une large vision de ce que la communauté dolmissoise doit avoir si elle veut atteindre son plein développement. Rémi Rousseau précise par ailleurs que le développement de la ville passe aussi par l’appui du conseil municipal à la venue de nouvelles entreprises.

« Un conseil de ville se doit de supporter la venue de nouvelles entreprises (grandes et petites), et le développement de son secteur commercial. Il doit aussi être à l’écoute de ses organismes afin que ceux-ci continuent à dynamiser les secteurs sportif, culturel, touristique et communautaire », avance Rémi Rousseau, qui précise que ce support de la ville doit se faire en tenant compte de la capacité de payer des contribuables. —J.S.

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