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Passerelle du 49e : un impact tangible

Serge Tremblay
Le 29 novembre 2019 — Modifié à 13 h 18 min le 29 novembre 2019
Par Serge Tremblay - Rédacteur en chef

Passerelle du 49e : un impact tangible

Alors que la P-49 (Passerelle du 49e) continue de gagner en notoriété, le milieu profite de l’influx de motoneigistes. Notre-Dame-de-Lorette en profite pour se bâtir un tout nouveau chalet et relais de motoneige et la Chute à l’Ours de Normandin voit une croissance intéressante de son volet d’opération hivernal.

La municipalité de Notre-Dame-de-Lorette avait prévu un vaste projet de réfection de son chalet des loisirs, qui sert de relais de motoneige, mais a finalement tranché en faveur d’une construction neuve.

« Finalement, il a été déterminé que l’ancienne partie n’avait pas la capacité portante pour supporter un agrandissement. On a donc opté pour construire à neuf et on croit que l’on sera en mesure d’ouvrir à la mi-janvier », explique la directrice générale de la municipalité, Valérie Tremblay.

Ce projet de plus de 500 000 $ permettra à la population et aux motoneigistes de profiter d’un chalet offrant des services de restauration, de bar et d’essence.

« L’endroit portera le nom de Chalet du 49e et on conserve un style rustique avec le bois. La formule de restauration sera revue par rapport aux dernières années et le relais sera ouvert 7 jours sur 7, de 10h à 18h. »

La municipalité a touché une aide financière d’environ 450 000 $ pour mener ce projet majeur en regard des moyens dont elle dispose.

Normandin

Au site touristique de la Chute à l’Ours de Normandin, le directeur général Éric Bhérer affirme constater une belle croissance d’hiver en hiver.

« On demeure en lancement de nos opérations hivernales et on se crée une clientèle progressivement. L’an passé, on a vu une bonne différence au niveau de l’hébergement par rapport à l’année précédente. Le taux d’occupation n’est pas encore super élevé, mais on avait quand même doublé notre nombre de nuitées. »

Et la saison 2019-2020 s’annonce pour être bonne puisque déjà, les réservations atteignent 40 % de tout ce que l’on avait connu au cours de l’hiver précédent.

« Notre relais de motoneige se fait connaître tranquillement et a connu de bons moments pendant les belles journées de février. Nos infrastructures sont là et si elles ne servent pas l’hiver, c’est de l’usure prématurée. Il y a un avantage monétaire à utiliser nos infrastructures, à les chauffer. »

Éric Bhérer mentionne que le Parc régional des Grandes-Rivières du lac Saint-Jean se développe une belle notoriété avec la P-49.

« Pour nous, c’est un beau moteur de promotion. D’autant plus que l’on est la porte d’entrée, le km 0. C’est intéressant et c’était important que l’on soit là. »

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