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Karolane une cavalière qui étonne

Le 30 septembre 2017 — Modifié à 00 h 00 min le 30 septembre 2017
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Elle parcourt tout le Québec, les fins de semaine de l’été, pour prendre part aux compétitions de rodéo, dans les festivals westerns et autres événements équestres. À bord de sa camionnette, avec sa jument Rachel, Karolane Brodeur vit au rythme de sa passion pour les chevaux.

Elle arrive tout juste du Festival western de Saint-Tite, la crème de la crème des événements du genre au Québec.

«C’est vraiment gros. J’y étais déjà allée comme spectatrice, mais c’était ma première fois en tant que concurrente et c’est vraiment une sensation unique, difficile à décrire».

«J’aurais bien aimé me rendre jusqu’à la finale, lors des épreuves en soirée et la fin de semaine. La foule est encore plus importante et l’ambiance à son maximum!», raconte la cavalière de Dolbeau-Mistassini.

C’est grâce à ses points accumulés au cours de la saison si Karolane a pu rejoindre le club sélect des cavalières et cavaliers à Saint-Tite.

Même si son aventure comme compétitrice s’est terminée le mercredi, en raison d’une petite erreur, – elle a renversé un des barils pendant sa course –, Karolane Brodeur a passé sept jours à Saint-Tite.

«Je ne voulais surtout pas manquer de vivre l’expérience des finales, même comme simple spectatrice».

Courses des barils

Amoureuse des chiens, des chats et des chevaux, – elle tient aussi un salon de toilettage (Canicoiff) –, Karolane Brodeur se spécialise dans les courses de barils chez les femmes, avec sa jument Rachel, qui porte toutefois le nom de <@Ri>Formal Easy Six<@$p>, lors des compétitions.

C’est d’abord avec son cheval Jack, âgé alors de 14 ans, qu’elle commence à suivre les gymkhanas et les rodéos.

«Quand on commence dans ce genre de compétitions, il est préférable d’avoir un vieux cheval. Une jeune cavalière avec un vieux cheval, c’est le meilleur mixte pour apprendre. Avec l’expérience, la cavalière peut ensuite y aller avec un plus jeune cheval, qui lui en donnera davantage».

C’est la raison pour laquelle elle a changé de cheval l’an dernier, pour Rachel, âgée de huit ans. Elle s’entraîne et héberge sa jument à l’Écurie Jackman, à Albanel.

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