Économie

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Secteur Racine Vauvert

Mandat sur le potentiel récréotouristique

Le 02 mai 2024 — Modifié à 14 h 10 min le 02 mai 2024
Par Vincent Pagé - Journaliste

La ville de Dolbeau-Mistassini a confirmé qu’une étude sera réalisée sur le potentiel récréotouristique du secteur de Vauvert. Le maire André Guy en fait l’annonce lundi dernier lors de la séance publique du conseil de ville.

La volonté de la ville avait déjà été manifestée l’automne dernier. Lundi dernier, le conseil de ville a confirmé l’octroi d’un contrat à la firme Synergie Développement Marketing afin de réaliser une étude sur le potentiel récréotouristique pour la somme de 60 000$.

Ce montant sera assumé à 45% par la ville et à 55% par la MRC. Le Fonds de vitalisation aidera à couvrir une partie de ce montant.

En janvier 2023, la firme de consultation Raymond Grant Chabot dévoilait un premier rapport suggérant la possibilité de faire du secteur Racine Vauvert un site récréotouristique attractif. Parmi les potentiels avenus possibles, on retrouve un volet écotouristique grâce aux milieux naturels de qualité en plus d’une offre d’activités de type nature-aventure avec le Centre touristique.

Aides financières

Dans un autre ordre d’idée, la Ville a annoncé trois aides financières accordées à des entreprises et organismes du milieu.

Le conseil a octroyé une aide financière de 30 000$ à l'entreprise Les scieries Matte à partir du Fonds municipal destiné aux entreprises.

La ville a également remis deux montants de 1 000$ à l’entreprise Services mécaniques LDR et à la Télé du Haut-du-Lac dans le cadre du programme d’optimisation du marketing web.

Hébergement

Yannick Guay, propriétaire de l’entreprise Hébergement du Plateau, a interpellé le conseil lors de la séance publique. Cette intervention était en réponse à la demande d’usage conditionnel effectuée par la Société sylvicole Mistassini concernant un projet d’hébergement temporaire afin d’y accueillir ses travailleurs sur une période de 4 à 7 semaines en période estivale.

Yannick Guay mentionne que d’accorder des permis de cette manière nuit aux entreprises d’hébergement, les travailleurs forestiers représentant un fort pourcentage de leur clientèle tout au long de l’année.

Il a proposé de réévaluer annuellement l'octroi de ce type de permis selon la situation économique au lieu des trois ans prévus par le règlement municipal. Le conseil évaluera cette option.

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